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March 24, 2015
Pour publication immédiate
Un nouveau programme de financement permettra l’expansion de viviers à homards
Innovation et de l'Enseignement supérieur
Un nouveau programme de financement offrira jusqu’à 50 000 $ par projet, afin d’agrandir les viviers à homards. Cette initiative permettra à l’industrie de devenir plus concurrentielle et profitable, de dire Allen Roach, ministre de l’Innovation et des Études supérieures et ministre des Pêches, de l’Aquaculture et du Développement rural.
« L’un des défis pour notre industrie du homard est la capacité du marché à absorber les grandes quantités de homards pendant les hautes saisons de récolte. La capacité accrue qu’offriront les viviers permettra de gérer cet approvisionnement et d’assurer un prix de marché plus stable. Cela permettra également aux transformateurs de mieux gérer leur production, réduisant ainsi une partie de la pression sur une main-d’œuvre déjà surmenée et rendant possible la transformation de plus grande valeur », a déclaré le ministre Roach.
Le nouveau programme accordera aux entreprises admissibles une aide non remboursable d’un maximum de 50 000 $ pour couvrir 10 % du coût des nouvelles installations de viviers de homards. Les projets pourraient également être admissibles à faire une demande de financement auprès de Finances Î. P. É., sous réserve de diligence financière raisonnable liée au financement (y compris la capacité à assurer le service de la dette ainsi que la sécurité adéquate).
« Les pêcheurs de l’Île-du-Prince-Édouard travaillent fort pour pêcher des homards de la plus haute qualité qui atteignent de nouveaux et plus grands marchés internationaux, a indiqué le ministre. Ce nouveau programme offrira d’importants avantages en ce qui concerne le maintien de la qualité et l’assurance de pouvoir répondre aux besoins du marché, tant pour les homards vivants que les produits transformés. »
Le nouveau programme donne suite aux recommandations d’un rapport préparé par MSRB en 2014, qui recommandait des installations de viviers de homards pour améliorer le rendement économique de l’industrie du homard de l’Île.
La valeur des débarquements de homard pour l’année 2014 se chiffrait à 114 millions de dollars, soit une importante contribution à l’économie de l’Île du Prince Édouard.
« L’un des défis pour notre industrie du homard est la capacité du marché à absorber les grandes quantités de homards pendant les hautes saisons de récolte. La capacité accrue qu’offriront les viviers permettra de gérer cet approvisionnement et d’assurer un prix de marché plus stable. Cela permettra également aux transformateurs de mieux gérer leur production, réduisant ainsi une partie de la pression sur une main-d’œuvre déjà surmenée et rendant possible la transformation de plus grande valeur », a déclaré le ministre Roach.
Le nouveau programme accordera aux entreprises admissibles une aide non remboursable d’un maximum de 50 000 $ pour couvrir 10 % du coût des nouvelles installations de viviers de homards. Les projets pourraient également être admissibles à faire une demande de financement auprès de Finances Î. P. É., sous réserve de diligence financière raisonnable liée au financement (y compris la capacité à assurer le service de la dette ainsi que la sécurité adéquate).
« Les pêcheurs de l’Île-du-Prince-Édouard travaillent fort pour pêcher des homards de la plus haute qualité qui atteignent de nouveaux et plus grands marchés internationaux, a indiqué le ministre. Ce nouveau programme offrira d’importants avantages en ce qui concerne le maintien de la qualité et l’assurance de pouvoir répondre aux besoins du marché, tant pour les homards vivants que les produits transformés. »
Le nouveau programme donne suite aux recommandations d’un rapport préparé par MSRB en 2014, qui recommandait des installations de viviers de homards pour améliorer le rendement économique de l’industrie du homard de l’Île.
La valeur des débarquements de homard pour l’année 2014 se chiffrait à 114 millions de dollars, soit une importante contribution à l’économie de l’Île du Prince Édouard.
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Contact pour les médias: Ron Ryder
